DE NOTRE ORGINE

Perdu dans un environnement hostile, nous cherchons notre place dans tout cela. Par où la vie est t’elle apparue ? Quel miracle et désillusion engendre t’elle ?
Nous commençons à prendre conscience de tous ce qui nous entoure sans pourtant arriver à trouver le pourquoi. La vie semble soumise à subir des variations infimes qui prennent des proportions gigantesques, un élément nocif de prime abord qui donnent des justifications a son apparition, des facteurs aléatoires qui permettent sa variété, tout ceci pour une finalité caché qui ne pourra pas le rester tant que nous serons là.
Et si la vie venait d’un résidu d’une énergie contenant notre univers.
Le contenant de notre univers devrait être la représentation inverse de ce que nous observons dans notre univers a des mesures infinies (notre univers serait fini et oui !). l'Univers se retrouve composé de 24 pour cent d'hélium et 75 pour cent d'hydrogène, le dernier pour cent obtenu dans les secondes qui suivent le big-bang par altération de neutrons et proton d'hélium.
75 % Hydrogène gazeux (essentiellement)
24% Hélium gazeux.
1% Autres (coucou je suis là, vous aussi d'ailleurs ! ;O)
Tout cela soumis à des tensions et pressions fluctuantes.

L'inverse soit un Hypothétique CONTENANT composait de :
75 % d’Hélium sous forme solide donc invisible
24 % d’Hydrogène sous forme solide donc métallique
les deux éléments disposés aléatoirement, dans des densités et masses disparate.
1% d’énergie (seul élément doué d’ubiquité) liant le tout sous une tension et pression infinie, dans un zéro absolu (aucune source de chaleur) de manière stable.

Dans ce CONTENANT le temps n’existe pas et la notion de mort ou destruction n’a pas lieu il est immuable. Ce contenant qui ne connaît ni de début ni de fin est une représentation du parfait, qui nous est (jusqu'a notre mort) inaccessible. Elle engendre notre univers qui n’aura en fin de compte aucune incidence sur lui (comme une aptitude a être différent).
Cette énergie est certainement le but de notre évolution. L’univers existe parce que cette énergie l’a conçu. Cette énergie est la somme (et sûrement plus encore) de toutes les forces qui composent notre univers(matière et énergie noires), sa mesure est impossible parce qu’elle n’a pas de limite juste une proportion.
Seul l’énergie « du contenant » a un moment donné a pu faire varier une de ces valeurs nécessaire a cette perfection, soit par concentration ou dilution, s’ensuivit le big bang créant une diminution du zéro absolue, suffisante pour altérer les propriétés de l’Hélium nous donnant cette impression d’espace en perpétuel propagation(physique des plasmas expliquant l'accélération continue de l'expansion de l'univers), qui en réalité se fluidifie sous notre apparition.

Propagation qui engendre notre notion de temps sachant que le contenant est immuable sa pauvre et inopinée modification (notre univers) n’aura de cesse de se propager jusqu’au moment où le zéro absolu réapparaît pour que la situation revienne a la normal (big crunch) nous scellant de nouveau dans l’éternité.
Les trous noirs ainsi que les étoiles que nous observons seraient liées a la répartition des 24% d’hydrogènes qui se transforment au contact de la fluidification, dégageant des énergies diverses selon que les noyaux soient compactés ou dilués (notre soleil quand dilué très faible et des trous noires si trop compacte). L’hélium se fluidifie, mais ne peu pas rentrer dans notre univers bulle, repoussé qu’il est il sera notre déclin au moment ou la fluidité ne se fera plus. La progression freinera et le zéro absolu extérieur portera son coup de grâce, en forçant le compactage d’hélium à regagner tous l’espace que nous avions furtivement volé, jusqu'à ce que l’énergie immuable recommence un tour de manége.
Un scénario bien caustique ou la physique et la science deviennent les observations d’un dérèglement furtif avec en soi une parcelle du monde qui nous contient.
Et nous alors dans tout ça ? Qui sommes-nous et que devons-nous faire ? A l’échelle actuelle rien, mais notre tendance a survivre a chercher sont une preuve de notre parenté a l’énergie immuable. Notre évolution semble nous guider inexorablement vers une fin qui recommence. Nous sommes l'espoir, nous nous devons de vivre pour retrouver cette forme, qui nous invite par tous les moyens à la rejoindre de force sans grés.